pour "g", il devient de plus en plus difficile de poursuivre sans heurt. son dernier appel téléphonique m'inquiète et m'interroge. ses activités de narcomane le forcent à commettre impair sur impair. les dettes s'accumulent et l'échéance tombera, il ne peut dire quand. bien que sa voix, étreinte d'affliction, m'alerte vraiment. il se révèle que les cris de toxicomane réfèrent souvent plus à de la manipulation. il ne peut toutefois, me dit il, disparaître de son milieu. selon lui, trop de personne s'en retrouverait menacer. la voix triste de mon jeune frère me suggère tant de souvenir et jusqu'à notre plus jeune âge.
mon jeune fils me souligne que depuis que "g" a abandonné sa dernière amie, tout s'écroule. c'est un bon point. cependant, l'affection qu'elle éprouvait pour lui n'a pu comblé le vide installé en lui. l'estime de lui-même s'altère de jour en jour. ajoutons à ses malheurs, une douleur qui le ronge: d'avoir négliger ses deux enfants. "g" devait venir bientôt. malheureusement, il est dans l'incapacité de s'offrir la présence de son garçon. de plus, le jour de son appel, il ne pouvait pas rencontrer sa fille. elle aurait aimé le voir peu importe le présent, en ce jour d'anniversaire. c'est ainsi.
l'enfer de la toxicomanie entraine avec lui plus que des faits divers, mais des moments extaordinairement simples. l'histoire d'un "g" occupe tellement la manchette et sa banalité, éloquente. en vous rapportant tout cela, je n'oublie pas son garçon dont ce sera l'anniversaire sous peu. les gênes, dit-on, possèdent une mémoire comme si son gars en était empreint; de ce gêne du vide intérieur.
mon jeune fils me souligne que depuis que "g" a abandonné sa dernière amie, tout s'écroule. c'est un bon point. cependant, l'affection qu'elle éprouvait pour lui n'a pu comblé le vide installé en lui. l'estime de lui-même s'altère de jour en jour. ajoutons à ses malheurs, une douleur qui le ronge: d'avoir négliger ses deux enfants. "g" devait venir bientôt. malheureusement, il est dans l'incapacité de s'offrir la présence de son garçon. de plus, le jour de son appel, il ne pouvait pas rencontrer sa fille. elle aurait aimé le voir peu importe le présent, en ce jour d'anniversaire. c'est ainsi.
l'enfer de la toxicomanie entraine avec lui plus que des faits divers, mais des moments extaordinairement simples. l'histoire d'un "g" occupe tellement la manchette et sa banalité, éloquente. en vous rapportant tout cela, je n'oublie pas son garçon dont ce sera l'anniversaire sous peu. les gênes, dit-on, possèdent une mémoire comme si son gars en était empreint; de ce gêne du vide intérieur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire