samedi 10 février 2007

constat.

je me permets un petit constat de mathématique simple, tout en respectant la chronologie. p plus m, plus y, plus moi, plus C, plus g, plus j, j’arrive à 7 et vous autant, si non relisez-moi. je poursuis, mais sous un aspect bien particulier, les mariages. petite précision, la coutume fiscale dit qu’une union de fait est valide après un année de vie commune, je poursuis ; mes parents se sont mariés deux fois, en 46 le premier et en 90 le second, mais sont maintenant divorcés ; y s’est marié en 70 et moi en 78 ; puis C prenait époux en 69, ensuite avec 3 autres, deux dans les années 80 et son actuel en 95 ; pour g ça se complique un brin ; le premier en 75, puis se remarie autour de 85, se remarie en 90, puis demeure sept ans avec une bonne madame avec laquelle il n’est plus ; j, mon frèrôt, s’unit à la belle sœur de mon frère en 83, divorce et demeure 3 ans avec une dame. alors deux ,plus deux, plus un, plus un, plus quatre, plus quatre, et plus deux, j’arrive à seize unions.
je sais, la description complique le décompte et tout, mais les mathématiques c’est aussi ça. Je simplifie en disant que les 3 jeunôts de la famille comptent 11 essaies, c’est un tournoi ou merde. j’ai connu tous les conjoints et je me suis attaché à presque toutes ces personnes que je ne revoie plus, pour la plupart. je ne reconnaîtrais même plus les enfants à qui j’ai fait des présents à noël ou à leur anniversaire, quel drame. mais la vie continue. remarquez que ce portrait reflète un symptôme transitoire, j’espère, et un copier-coller fréquent, je le crois du moins. une société moderne nécessite un minimum de stabilité et celle-ci doit s’inspiré du milieu de vie, et j’ai confiance que nos jeunes renoueront avec la loyauté.

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